Éric Pessan : « On a besoin de ne pas accepter le monde comme une ressource à consommer »
Propos recueillis par Ingrid Merckx, rédactrice en chef
D’abord, choisir son arbre, sa clairière ou sa dune. Se souvenir des gestes ou les découvrir, les inventer. Penser au soleil ou à la pluie, au durable ou à l’éphémère, aux jeux de l’enfance ou à un avenir incertain…