
David Cronenberg, La Mouche :
le devenir-autre
Pour ce cinéaste fasciné par les corps, les enveloppes, le passage d’un état
à l’autre, la monstruosité ne résulte pas d’une tare ou d’un accident, mais d’un germe que nous secrétons et qu’il regarde grandir et susciter un certain désir, aux limites de l’humain.
Par Éric Hoppenot, docteur, professeur agrégé de lettres à l’Inspé
Paris Sorbonne-Université et au Collège international de philosophie