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Proposition de progression de grammaire en sixième

L’enseignant(e) de sixième peut s’assurer que les acquis grammaticaux de ses élèves sont solides à l’aide de cette progression annuelle. Elle peut être menée « en décroché » ou intégrée aux séquences littéraires s’il ou elle choisit d’adapter son corpus à l’œuvre étudiée.
Par Marie-Astrid Clair, professeure de lettres (académie de Paris)

Fahrenheit 451, de Ray Bradbury :
« un film où les livres seraient les héros »

François Truffaut ne concevait d’adaptation valable qu’écrite par des gens de cinéma. Illustration avec ce roman de science-fiction de Ray Bradbury que les lycéens peuvent investir d’une vision personnelle pour en tirer une parole authentique et collaborative.
Par Milly La Delfa, professeure de lettres (lycée Sévigné, Paris)

Le Livre de Rachel, d’Esther David :
humer senteurs et saveurs de l’Inde

Proposition de séquence autour du Livre de Rachel, d’Esther David, dans le cadre du thème au programme de deuxième année du BTS : « À table ! Formes et enjeux du repas ». C’est l’occasion de voyager en lisant et d’apprendre à partager sa lecture.
Par Cécile Akil-Plessix, professeure de lettres (académie de Paris) et formatrice académique

Entrée en sixième :
« un seul objectif, devenir populaire »

Comment être populaire au collège ? Cette séquence permet de relier la classe et le vécu des élèves en incitant, dès les premières semaines, à s’approprier des textes littéraires, puis à s’entraîner à la « mise en lien avec l’expérience vécue** », au « partage des impressions de lecture », à la « confrontation des jugements » et « aux débats interprétatifs ».
Par Milly La Delfa, professeure de lettres (académie de Paris)

Le Menteur, de Pierre Corneille :
études de textes

Acte II, scène 5 : le mariage forcé ; acte IV, scène 5 : la fausse grossesse ; acte V, scène 3 : la vérité et le mensonge réconciliés. La pièce de Corneille, au programme des premières générales et technologiques, fait du mensonge le point pivot entre la comédie et la tragédie. Et il faut comprendre mensonge comme travestissement, ce qui le rapproche du rôle du comédien.
Par Pascal Caglar, professeur de lettres (académie de Paris)