"L’Avare", de Molière, mis en scène par Ludovic Lagarde
Au commencement, il y a la lumière. Ou plutôt : ce sont des rayons désordonnés de lumière, qui découpent le plateau plongé dans l’obscurité. Le spectateur perçoit à peine le plateau et les objets qui façonnent l’espace scénique. Devant lui, ce…