Du roman Tempête au haras au film :
étudier les chaînes d’adaptation avec des élèves

Avant de bénéficier d’une adaptation cinématographique par Christian Duguay, et d’inspirer une version en bande dessinée illustrée par Jérémie Moreau, Tempête au Haras, de Chris Donner, a connu une première vie littéraire en tant que roman de jeunesse. Tout sauf tiède. (Lire la critique d'Ingrid Merckx sur le film Tempête) Par Antony Soron, maître de conférences HDR, formateur agrégé de lettres, Inspé Paris Sorbonne-Université

Tempête, de Christian Duguay : remise en selle

Le réalisateur de Jappeloup adapte le roman et la bande dessinée Tempête au haras, de Chris Donner, illustré par Jérémie Moreau. Il évite les scories du mélodrame sportif et familial en misant sur la justesse du jeu et des échanges, les décors, la passion pour le milieu équin et l’ambiance de la course. Par Ingrid Merckx, rédactrice en chef

Territoires vivants de la République
Raconter les enfants réfugiés en classe

Parce que les enfants ne sont pas épargnés par les violences du monde, comment ne pas les faire réfléchir à des parcours d’exil : pendant l’Occupation ou aujourd’hui, avec notamment deux réfugiées syriennes. Ils font preuve d’une grande humanité dans leur accueil. Par Clément Huguet, professeur d’histoire-géographie au collège Michel-Richard-Delalande à Athis-Mons (91)

La Chute des anges, une divine surprise

La metteuse en scène Raphaëlle Boitel nomme « cirque chorégraphié théâtral » ce genre qui croise plusieurs disciplines des arts vivants, comme dans le spectacle qu’elle présente pour les fêtes au théâtre du Rond-Point. Sept personnages venus d’ailleurs débarquent dans notre monde… Par Pascal Caglar, professeur de lettres (Paris)

Nos frangins, de Rachid Bouchareb :
Malik, Abdel et les crimes racistes

Le cinéaste d’Indigènes poursuit son travail de mémoire collective en retraçant les événements du 5 au 6 décembre 1986 où deux jeunes d’origine maghrébine ont été tués par la police à Paris et à Pantin. L’un a été érigé en martyr, l’autre est resté dans l’ombre. Par Ingrid Merckx, rédactrice en chef de L’École des lettres