Échos et déchirure
CINÉMA. Inspiré de faits historiques, le cinquième long métrage de Jasmila Zbanic tisse une fiction qui ramène aux heures les plus sombres du conflit bosniaque. « La Voix d’Aïda » se déroule dans un périmètre unique et fermé, où les civils sont les otages d’une guerre qui les dépasse, autour d’un personnage d’interprète impliquée et écartelée. En salle le 22 septembre .
Par Philippe Leclercq