Quels grands principes pour l’école d’après ?

Le monde d’après ne pourra pas se faire sans une révolution scolaire, défendent Christian Laval et Francis Vergne dans cet essai. Ils s’attèlent donc à imaginer « ce que devrait être l’institution de l’éducation dans une telle démocratie sociale et égologique au xxie siècle ». Pour ce professeur de sociologie et ce psychologue de l’éducation, le principe des principes est le suivant : « L’éducation est un bien commun, pas une marchandise »...

Sophie Merceron, double lauréate

Coup double pour Sophie Merceron. Déjà lauréate du prix de littérature dramatique jeunesse en 2020 pour Avril (l’école des loisirs), elle a remporté à la mi-octobre le même prix édition 2021 avec sa pièce Manger un phoque...

Tortures sur les jeunes Amérindiens au Canada

C’est l’histoire d’un « pensionnat pour sauvages », un de ces multiples établissements qui se sont efforcés d’assimiler les Amérindiens au Canada entre 1827 et 1996. Au mépris de leurs cultures, au mépris aussi des droits de l’homme les plus élémentaires tant les sévices ont été nombreux au nom de ce dessein...

Techno-critique

L’auteur de La Horde du Contrevent (La Volte 2004, grand prix de l’imaginaire 2006) et, plus récemment, des Furtifs (La Volte, 2019) s’est essayé à une aventure jeunesse en y glissant le regard techno-critique qui le caractérise : et si un enfant d’un futur relativement proche qui vivait avec une intelligence artificielle prénommée Scarlett logée dans un « brightphone » où toute sa vie était enregistrée, se faisait tabasser pour cause d’appareil défectueux ?...

Menace portable

La rentrée 2021 a été marquée par un psychodrame concernant les élèves de sixième : une vague de haine contre les « 2010 » s’est répandue sur les réseaux sociaux. Pourquoi cette soudaine menace ? Que dit-elle de la montée en puissance du si cher téléphone portable en matière de harcèlement ?

Par Antony Soron, formateur agrégé de lettres, Inspé Paris.

L’odyssée sensorielle

Dans la logique de ses « manifestes », le Muséum d’histoire naturelle invite à reprendre contact avec la nature en plein Paris en s’immergeant dans un univers d’images, de sons et d’odeurs issus des règnes animal et végétal.

Par Philippe Leclercq, professeur de lettres et critique