Alors c’est bien, de Clémentine Mélois :
la gloire de mon père

L’écrivaine traverse l’épreuve du deuil en recourant à l’humour pour évoquer son père, « bricoleur de l’inutile », artiste épris de jeux de mots, de fantaisie et de désinvolture, jusqu’aux derniers préparatifs, et aimant sa mère comme dans les contes de fées.
Par Norbert Czarny, critique littéraire