Le texte est bilingue : en ukrainien sur la page de gauche, en français sur celle de droite. « Silence.asphalte » se nomme l’un : « un jour d’août ensoleillée et torride / nous passons par la dernière épicerie / à la sortie de la ville / devant nous se trouve un poste de contrôle aux drapeaux ukrainiens / nous nous arrêtons en attendant que quelqu’un nous accompagne /
je sors de la voiture / j’allume une cigarette / tout en ressentant l’asphalte brûlant… » (Grygoriy Sementchouk, Marioupol 2018).