Georges Feydeau :
des décors comme des coups de théâtre
Des préoccupations dramaturgiques dans Un fil à la patte. L’étude du décor, celui de l’acte III particulièrement, permet de mieux comprendre ce que signifie le spectaculaire dans la comédie. L’œuvre de Feydeau, par ses liens avec la commedia dell’arte, entre en résonance avec l’œuvre de Molière, Le Malade imaginaire, spectacle et comédie.
Par Haude de Roux, professeure de lettres classiques
Par Haude de Roux, professeure de lettres classiques
Plan de la séquence :
➤ Le spectaculaire doit faire de vives étincelles
➤ « Le pouvoir de faire rire infailliblement, mathématiquement »
➤ Le décor prémédité et envisagé pas à pas
➤ Le décor conçu pour une « manipulation virtuose des espaces »
➤ L’escalier qui fait vivre des personnages-machines. Quand la machine s’emballe
➤ Les portes comme des accélérateurs de dénouement
➤ Les portes comme des possibilités de langage
➤ Le décor imaginé finalement pour un imbroglio spectaculaire
➤ Le décor comme écrin d’un caractère observé au cœur de l’action
➤ Le spectaculaire doit faire de vives étincelles
➤ « Le pouvoir de faire rire infailliblement, mathématiquement »
➤ Le décor prémédité et envisagé pas à pas
➤ Le décor conçu pour une « manipulation virtuose des espaces »
➤ L’escalier qui fait vivre des personnages-machines. Quand la machine s’emballe
➤ Les portes comme des accélérateurs de dénouement
➤ Les portes comme des possibilités de langage
➤ Le décor imaginé finalement pour un imbroglio spectaculaire
➤ Le décor comme écrin d’un caractère observé au cœur de l’action
Niveau(x) d'études :
Première
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