« Ce qui me pousse à écrire, c’est la question de la manipulation des masses »
La romancière Brigitte Giraud publie Porté Disparu, une fiction découpée en monologues autour de la disparition d’un jeune homme de 17 ans.
Le drame est survenu après un exposé en cours d’histoire sur les premiers autodafés nazis et la répression des homosexuels.
Propos recueillis par Ingrid Merckx, rédactrice en chef de L’École des lettres
Propos recueillis par Ingrid Merckx, rédactrice en chef de L’École des lettres
L’École des lettres. — L’expression « porté disparu » est d’autant plus inquiétante qu’il s’agit d’un jeune homme de 17 ans, Livio, qui a disparu sans laisser de traces. Ses proches s’interrogent – sa petite amie, ses parents, sa professeure d’histoire et certains camarades – car le drame est survenu après un exposé au cours duquel il a été maltraité. Chaque personnage apporte sa version, presque sa déposition. Que peut-on dire sans trop en révéler ?
Brigitte Giraud. — Cette disparition a lieu après un exposé en cours d’histoire dans le grand chapitre du nazisme.[…]
Pour lire la suite, téléchargez l’article ci-dessous ou abonnez-vous !
Pour lire la suite, téléchargez l’article ci-dessous ou abonnez-vous !