L’engagement de l’hebdomadaire Le 1 en faveur des migrants

À l’occasion de la semaine de la presse à l’école qui s’ouvre ce lundi 21 mars, gros plan sur Le 1, publication fondée par Éric Fottorino avec Laurent Greilsamer, et notamment sur son numéro de décembre 2021 consacré au migrants. En complément, une nouvelle monstrueuse et poignante : La Pêche du jour

Par Antony Soron, maître de conférences HDR, formateur agrégé de lettres,
Inspé Sorbonne université

Faut-il réformer les règles d’accord du participe passé ?

Elle est réputée la règle la plus difficile de la langue française. L’accord du participe passé, quand le complément d’objet direct est antéposé, a fait couler de l’encre. Certains grammairiens défendent l’invariabilité totale du participe passé. Le linguiste Bernard Cerquiglini retrace son épineuse histoire.

Par Jacques Vassevière, professeur de lettres

Le manque de transparence des établissements privés hors contrat

La dernière enquête du Comité national d’action laïque sur les établissements privés hors contrat dénonce des enseignements lacunaires, sexistes, et même racistes et révisionnistes. Elle souligne aussi la réticence de l'Éducation nationale à transmettre les rapports d’inspection sur ces écoles. Le Cnal n’a eu accès qu’à 9 %.

Par Antony Soron, maître de conférences HDR, formateur agrégé de lettres,
Inspé Sorbonne université

Des livres d’émancipation pour fêter le 8 mars

Deux ouvrages pour la journée internationale des droits des femmes. Dans Se ressaisir, Rose-Marie Lagrave évoque le parcours « d’une transfuge de classe féministe ». Ce livre fait écho à un ouvrage de la même collection « L’envers des faits » aux Éditions La Découverte, Nos mères, dans lequel Christine Detrez et Karine Bastide dressent une histoire de l’émancipation féminine.

Par Frédéric Palierne, professeur de lettres

La poésie comme arme de résistance

Lecture comparée de « Liberté » de Paul Éluard et « Les yeux d’Elsa » de Louis Aragon, à destination des élèves de classe de première. En 1942, ces deux poètes interpellaient les consciences par des poèmes pour la « liberté ». De quoi alimenter la résistance civile et intellectuelle contre l’oppression militaire.

Par Antony Soron, maître de conférences HDR,
formateur agrégé de lettres, Inspé Sorbonne Université.