Eugénie Grandet
De l’ombre à la lumière
Un beau clair-obscur et un montage ralenti pour mieux coller au rythme du récit balzacien : Marc Dugain dépeint une Eugénie Grandet avide d’amour dans l’obscurité de la prison paternelle. Sous les traits de Joséphine Japy, la jeune femme trouve refuge et salut dans le contact avec la nature.
Par Philippe Leclercq, professeur de lettres, spécialiste de cinéma