La littérature pour la jeunesse, une littérature pour la vie
À l’initiative des éditions Casterman, l’école des loisirs, Flammarion-Père Castor et Gallimard Jeunesse, et en partenariat avec le Centre de littérature de jeunesse de Bruxelles, une journée d’étude autour de l’écriture romanesque pour les jeunes a été organisée le lundi 4 avril 2011 à Bruxelles.
L’École des lettres met à votre disposition les actes de cette journée.
Au sommaire du numéro de « l’École des lettres »
Présentation de la thématique par Luc Battieuw, directeur du Centre de littérature de jeunesse de Bruxelles.
Marie Saint-Dizier, écrivain, auteur notamment du livre : Le Pouvoir fascinant des histoires. Ce que disent les livres pour enfants (Éditions Autrement, 2009), évoque Ces livres qui marquent pour la vie.
Cette intervention est suivie d’une table ronde animée par Maurice Lomré, avec Marie Desplechin, Yaël Hassan, Françoise Rachmuhl.
Christophe Evans, spécialiste de la sociologie de la lecture, chargé d’études à la Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou, analyse Les rapports entre les adolescents et la lecture : évolution sociologique.
Une table ronde animée par Ariane Leturcq réunit Sophie Chérer, Fabrice Colin, Sophie Dieuaide, et Timothée de Fombelle.
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Je viens de lire le numéro de la revue sur « La littérature de jeunesse, une littérature pour la vie ».
Ces rencontres et tables rondes, quel qu’en soit l’intérêt, sont souvent un peu conventionnelles dans le ton.
C’est une agréable surprise que de lire les propos de Sophie Chérer sur l’Éducation nationale délibérément sacrifiée (en citant le livre de Nico Hirtt) et sa mise au point sur l’autre aspect (commercial) de Facebook ! Il faut en tenir compte pour redéfinir la place et le rôle de la littérature de jeunesse.
Un grand merci à Sophie.