Un constat mérite d’interpeller les responsables éducatifs : les enseignants de seconde fuient de plus en plus la charge de professeur principal. La mission est devenue délicate, ingrate, chronophage. Sa rémunération ne correspond plus du tout à la complexité de l’investissement supposé. Bien des causes se conjuguent, expliquant les difficultés rencontrées par les collègues acceptant de gérer l’orientation de trente-trois ou trente-quatre adolescents…