Il fut un temps où l’opium du peuple n’était ni la religion ni le foot, mais le roman. Ou plutôt une certaine catégorie de romans que l’élite parisienne du xixe siècle, gardienne du temple des belles-lettres, se plaisait à déprécier comme « roman à quatre sous ». C’était le roman du peuple, c’est-à-dire qui parlait du peuple et qui parlait au peuple. […]
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