Professeur de littérature à Paris-Sorbonne et spécialiste de poésie moderne et sonore, Michel Murat publie un essai consacré à la poésie d’après-guerre*.
Dans cette période « interrègne », il voit briller notamment Ponge,
Senghor, Césaire, Rabearivelo, puis André Frénaud, Armand Robin
et Jean-Paul de Dadelsen. Par Norbert Czarny, critique littéraire
Il faut aller jusqu’aux dernières pages de La Poésie de l’après-guerre pour entrer dans le jardin secret de son auteur. Michel Murat, professeur de littérature à Paris-Sorbonne, consacre en effet l’épilogue de cet essai à trois poètes ayant connu leur moment le plus fort au seuil des années soixante : André Frénaud, Armand Robin et Jean-Paul de Dadelsen. […]
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