La gloire a joué un mauvais tour à Pétrarque. Ce sont en effet ses travaux humanistes ou ses œuvres latines qui auraient dû lui assurer auprès de ses pairs respect et admiration. Or c’est par le « Canzionere », des sonnets, des balades, des chansons où il célèbre l’amour profane, l’amour adultère même, le désir, la passion, qu’il passera à la postérité.