Nous ne serons jamais assez reconnaissants à Pedro Almòdovar de nous avoir, depuis environ trois décennies, offert quelques grands moments de cinéma. De nous avoir surpris, charmés, amusés, émus. Bref, d’avoir élargi le champ de notre sensibilité tout en nourrissant celui de notre réflexion et de notre plaisir. Il fallait commencer par cet hommage mérité avant d’exprimer des réserves sur son dernier film au titre assez curieux, « La piel que habito »…