On aurait intérêt à s’en remettre plus souvent aux historiens pour la rédaction des biographies. Eux seuls disposent des outils nécessaires à une mise en perspective diachronique ; eux seuls peuvent replacer avec précision le modèle dans un contexte socio-historique. La règle reste vraie quand il s’agit d’écrivains, comme c’est le cas pour ce « Flaubert » dû à Michel Winock…