C’est dans des circonstances dignes d’une comédie américaine qu’Harry Bonnet se retrouve à Hollywood. Nous sommes en 1964, le jeune Harry reconnaît que son anglais « n’en mène pas large » dans ce Hollywood tout entêté de sa propre gloire. Il découvre avec stupeur le luxe des villas de star, l’ampleur des rues et des paysages. Le roman prend donc les allures d’un récit initiatique. Mais très vite le lecteur comprend que l’intérêt réside ailleurs…