Alors que l’écrit du Capes vient de s’achever (ce 8 avril), des inquiétudes montent chez certains candidats à l’approche des épreuves orales. Ces nouvelles épreuves seraient mal circonscrites, les attentes seraient floues, la préparation aventureuse. Rien n’est plus compréhensible qu’une appréhension née de la nouveauté, mais rien n’est plus dangereux qu’un blocage né d’un refus de celle-ci. Les textes officiels sont clairs et, à la vérité, le changement est plus spectaculaire dans la dénomination de l’épreuve – « Mise en situation professionnelle » – que dans son déroulement, assez proche des sessions antérieures.