Cet article se propose de montrer comment Senghor passe de la lecture de l’Afrique à l’interprétation personnelle de celle-ci, en tant qu’homme et en tant que poète, et parvient par ce jeu dialectique entre l’ici et l’ailleurs, le passé et le présent, à trouver l’apaisement dans l’acceptation de sa propre dualité.