Pour lever – autant que faire se peut – les obstacles à la lecture d’une œuvre aussi difficile qu’« Éthiopiques », cet article se propose de caractériser l’écriture poétique de Senghor, de repérer quelques figures qui ordonnent ce qu’il appelle lui-même une « danse verbale ». Dans un second temps, il s’interroge sur la cohérence du discours de la « Bonne Nouvelle ».