Cet article, issu de communications présentées à des enseignants du secondaire dans le cadre de leur formation continue, a pour but principal de montrer qu’une connaissance de la rhétorique, de son histoire et des textes qui s’y réfèrent ou l’utilisent, n’est pas inutile pour qui transmet à des élèves le goût de lire, d’écrire, de penser et les méthodes rigoureuses propres à soutenir et à libérer ce goût. L’éloge et le blâme, loin d’être des formes vides, offrent une perspective intéressante sur l’histoire de la littérature et des idées.