Michel Gondry a une imagination qui lui permet de visualiser immédiatement ce qu’il lit. S’il a relevé le défi d’adapter « L’Écume des jours » de Boris Vian, roman culte inadaptable entre tous, c’est qu’à la première lecture, il avait eu la vision d’une intrigue qui commencerait en couleurs et finirait en noir et blanc. Un tel défi correspond bien à son univers romantique et à son style personnel…