Dans la littérature française contemporaine, le XVIIe siècle se porte bien. Il apparaît au détour de fictions se déroulant à notre époque. Il nourrit les intrigues de récits nous ramenant trois cents ans en arrière. Le polar lui-même s’en est emparé, consécration populaire s’engouffrant dans la brèche ouverte par le « Da Vinci Code » d’une part, le succès des serial killers d’autre part. Où placer « Tous les matins du monde », de Pascal Quignard, dans ce paysage littéraire ?