Ce qu’on pourrait appeler le double paradoxe de la tour se donne à lire chez Stendhal plus que chez tout autre. Car si la tour est faite pour enfermer, elle permet aussi de se cloîtrer ; si elle est faite pour voir, si elle est « belvédère », elle est aussi faite pour être vue de loin, qu’on l’admire ou qu’on la craigne. 1. Une poétique de la prison 2. La prison comme destin 3. « Le Mie Prigioni » 4. Un lieu d’inaction 5. « Picciola »