On ne sait si, à l’instar de Christian Gailly, Éric Chevillard utilise la bonne vieille machine à écrire mais, comme l’écrivain récemment disparu, les lettres lui apparaissent sur un clavier dans ce désordre qui est peut-être l’ordre véritable des choses. Et l’autoportrait qu’il propose dans ce « Désordre azerty » est sans doute la meilleure manière pour lui de se présenter…