À partir du 17 juin 1940, un diplomate a signé plus de trente mille visas permettant à des réfugiés, des fugitifs, des proscrits de toutes sortes, de passer au Portugal. Cet homme, Aristides de Sousa Mendes (1885-1954), est « l’homme dressé seul face à l’abîme » dont Salim Bachi raconte une partie de l’existence, autour de ce moment fatidique…