« « Le Bouvier et la Tisserande »
Le conte est le texte qui se prête le mieux à une lecture magistrale. La lecture magistrale ménage des temps de respiration dans le rythme imposé par l’horaire des cours. Elle sollicite l’intelligence du texte en offrant à la voix du conteur de quoi donner libre cours à son pouvoir de suggestion. Et quand arrive l’étape qui mène au dénouement, il est bon de marquer une pause et de vérifier la manière dont les élèves se sont approprié la logique du récit. L’auditoire a son mot à dire : chacun se remémore le fil de l’histoire et, en silence, note comment il imagine la fin. La mise en commun favorise l’échange : on compare, on élimine, on évalue les solutions proposées. Alors intervient la lecture de la fin du récit : l’écoute répond alors vraiment à une attente. Trois contes, extraits du recueil « Contes chinois » (L’École des loisirs, 2000), servent de supports à cette démarche.
- l'École des lettres
Rubrique : Contes chinois 6e
Oeuvre : contes chinois
Magazine spécial : Contes populaires du monde entier
Niveau(x) d'études :
sixième
sixième
Programmes :
lecture - contes
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