« La Politesse » n’est pas pas un roman très joyeux. Bégaudeau rapporte des faits, au présent, comme sur le vif. Le vif des blessures, des humiliations, de l’incompréhension. La « chaîne du livre » comme on la nomme souvent, est constituée ici de petites mains, de sous-fifres, de vacataires ou sous-employés sans doute surexploités…