La parole est omniprésente dans le « Roman de Tristan », texte destiné à la lecture publique. Mais, si ce roman donne sans cesse la parole à ses personnages et à son narrateur, c’est aussi parce qu’il obéit à des visées précises. Les événements y naissent souvent du succès plus ou moins heureux des paroles. Ce qui n’empêche pas de faire sa place à l’indicible, au silence.