L’arbre serait parent de l’écriture. D’une manière simple et presque triviale d’abord quand on grave sur son tronc, qu’on incise l’écorce pour laisser une trace, comme le font les amoureux, réunissant, à la pointe du couteau, deux prénoms dans un cœur. L’arbre devient alors porteur de message, substitut du livre avec lequel il partage une étymologie commune, « liber », qui signifie aussi bien la pellicule située entre le bois et l’écorce que le livre. Mais la leçon de l’arbre ne s’arrête pas là…