Dans les dernières phrases de son roman, la romancière signe « Jacob, Jacob ». Elle a voyagé jusqu’à Constantine, a cherché la tombe de Jacob, ce beau jeune homme que l’on voit sans doute sur la photo de couverture, et qui aurait pu ou dû être son oncle. Si une balle allemande ne l’avait pas atteint, alors que la Première Armée française menée par De Lattre de Tassigny libérait Thann et l’Alsace, à l’automne 1944…