Le premier de ces deux inédits de Julien Gracq se présente comme un journal de bord : trois semaines de la « drôle de guerre » y sont relatées par l’officier de trente ans. C’est un récit en « je ». Le second texte est écrit à la troisième personne avec comme protagoniste un personnage simplement désigné par l’initiale G. Il emprunte quelques éléments au premier cahier mais ne retient que le film de deux journées : 23 et 24 mai 1940…