Gabrielle Filteau-Chiba :
« En forêt, on devient de meilleurs humains »
En visite à Paris pour le festival America à Vincennes, Gabrielle Filteau-Chiba est venue à L’École des lettres notamment pour inaugurer les Lundis
de l’écopoétique. Elle revient sur son engagement pour la défense de la terre,
sa plume et sa cabane la plaçant en position de vigie.
Propos recueillis par Ingrid Merckx, rédactrice en chef
Propos recueillis par Ingrid Merckx, rédactrice en chef
L’École des lettres. — Vous êtes née en 1987 au Québec et, à 26 ans, vous avez quitté Montréal, un métier de traductrice, et toutes vos relations pour partir vivre dans une cabane au Kamouraska. Une expérience que vous romancez dans la trilogie Encabanée, Sauvagines et Bivouac (Stock, Le Livre de poche). Une fois qu’on a vécu dans une cabane, comment en sort-on ?
Gabrielle Filteau-Chiba. —Je n’en suis jamais vraiment sortie. Cette cabane m’a forgée. […]
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Gabrielle Filteau-Chiba. —Je n’en suis jamais vraiment sortie. Cette cabane m’a forgée. […]
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- Ingrid Merckx
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