Le « François d’Assise selon Giotto », de Michel Feuillet, pourrait être un livre d’art, ou un essai hagiographique : c’est l’histoire d’une rencontre. Ils ne sont pas de la même époque (à quelques décennies près), ne suivent pas la même route, n’ont pas connu le même destin, mais ils sont animés tous deux par une égale ferveur – spirituelle ici, esthétique là – et unis par la même aura posthume…