Le roman d’apprentissage constitue-t-il vraiment un genre romanesque à part entière ? Tout roman n’est-il pas, d’une certaine manière, un roman d’apprentissage ? Est-il aisé de dater son apparition ? Peut-on parler indifféremment de « roman de formation » et de roman d’apprentissage ? Peut-on considérer les expressions « roman d’éducation », « d’apprentissage» ou « de formation », voire «d’initiation », comme des équivalents ?