Dans la préface qu’il donne aux « Égarements », Crébillon, tout en maintenant malicieusement l’ambiguïté sur l’origine des mémoires qu’il présente au public (sont-ils authentiques ou fictifs ?), procède à une sorte de réhabilitation du roman. Ce genre si décrié ne pourrait-il pas, comme la comédie, avoir une utilité en censurant les vices et les ridicules ?