En avril 2013, l’Inspection générale de l’Éducation nationale, répondant à une commande du ministère, remettait un rapport sur l’évaluation des enseignants, entendue comme l’appréciation de la valeur professionnelle. Ce rapport se terminait par un paragraphe intitulé « Améliorer l’existant sans attendre », comportant cette phrase insistante : « L’insatisfaction procurée par le système actuel d’évaluation des enseignants mérite que l’on remédie rapidement à ses principaux dysfonctionnements. » Sept mois après, on attend toujours les premiers signes d’une amorce de réforme…