Les surréalistes ont toujours refusé de constituer une nouvelle « école » littéraire, un cénacle étroitement poétique à l’image de ce que furent quelques grands mouvements littéraires du XIXe siècle. Cet article tente pourtant d’extraire de « Nadja » quelques règles littéraires ou plus largement esthétiques en les limiant à deux : le refus du roman et le culte du merveilleux.