Parmi les nouveautés que Breton inscrit dans la structure romanesque de « Nadja », le lecteur remarque de nombreuses illustrations – quarante-quatre dans l’édition originale, quarante-huit dans la version définitive revue par l’auteur. Quelle part Breton réserve-t-il à l’iconographie par rapport au texte ? Que représentent ces images et comment sont-elles composées ? Quelles en sont les principales fonctions ?