« Le Crâne de mon ami », d’Anne Boquel et Étienne Kern : quand la littérature nourrit l’amitié
De l’Antiquité, quand le poète latin Horace se désolait déjà devant la « race irritable des poètes », jusqu’à nos jours, alors que le cinéaste Olivier Assayas évoque, dans Doubles vies, les relations houleuses entre éditeurs et auteurs parisiens, les écrivains semblent…