Le Diable n’existe pas, de Mohammad Rasoulof :
résister à la banalité du mal
Le septième long métrage du cinéaste iranien met quatre hommes face à des choix qui les exposent à la peine de mort. Comment tenir sans devenir bourreau ? Ces destins découpés en sketchs sont assortis de coups de théâtre qui invitent à la relecture.
Philippe Leclercq, professeur de lettres et critique de cinéma