« La jubilation d’un bouche-à-oreille public »
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Cette expression du poète André Velter défend la lecture à voix haute comme moyen de résister aux commotions du monde. C’est l’occasion de revenir sur la distinction entre l’oralité et le sonore, et de s’intéresser à la présence de la voix dans l’écrit et à l’implication corporelle des élèves dans la lecture.
Par Jean-Luc Bertolin, IA-IPR lettres, académie de Besançon
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