Lire Notre-Dame de Paris,
de Victor Hugo,
aujourd’hui, du collège au lycée
Par Stéphane Labbe, professeur de Lettres (académie de Rennes)
Comment faire lire Notre-Dame de Paris aujourd’hui ? Ce roman convient en fait à toutes les classes : « Figures du monstre » en sixième, « Avec autrui : familles, amis, réseaux » en cinquième, « La ville, lieu de tous les possibles » en quatrième, « Agir dans la cité » en troisième, « Figures de la marginalité » ou « Écritures du romantisme » au lycée… C’est une lecture qui fait entrer dans une écriture, une vision : une grande aventure.
Par Stéphane Labbe, professeur de Lettres (académie de Rennes)
Il y a peu, j’ai demandé à mes élèves de première de lire un roman évoquant le thème de la marginalité. Ils avaient le choix entre une trentaine de titres parmi lesquels figurait le roman de Victor Hugo, Notre-Dame de Paris. J’avais mis en garde les lecteurs peu entraînés. Il s’est malgré tout trouvé une demi-douzaine d’aventuriers pour explorer les arcanes du roman d’Hugo, cinq d’entre eux ont fini par abandonner. J’ai évidemment félicité la lectrice de fond qui avait effectué le parcours jusqu’au bout. Et, avec les autres, nous avons cherché les raisons de cet échec. La plupart ont évoqué le rythme du récit, une action qui tarde à démarrer, l’absence de héros ou d’héroïne immédiatement identifiable, les difficultés posées par une syntaxe parfois baroque, et la richesse d’un lexique un brin clinquant qui cherche la couleur locale. Bref, une écriture déroutante bien éloignée des standards d’aujourd’hui qui privilégient provocation et surprise. L’anecdote fait apparaître que la lecture de Victor Hugo, même en classe de première, devient difficile. Alors comment, dès lors, aborder ou faire lire une telle œuvre aujourd’hui ?
Confronté au problème, on songe tout de suite à l’ancienne pratique des morceaux choisis, Gallimard a d’ailleurs publié une anthologie[1] pertinente de Notre-Dame de Paris, commentée par Alain Goetz, lequel commence ainsi sa préface : « Hugo a interdit qu’on découpe ses textes en morceaux. En 1859, il écrit : “Les libraires [les éditeurs] qui, abusant du domaine public, tronqueront mes œuvres sous prétexte de choix, œuvres choisies, théâtre choisi, etc., etc., seront, je le leur dis d’avance, des imbéciles. J’existerai par l’ensemble.” Soit ! Hugo fait bien partie de ces « hommes océan », de ces génies dont il évoque l’existence dans la préface de son William Shakespeare. Mais il nous faut convenir que la plupart d’entre nous avons appris à nager en piscine, et l’on peut considérer que si des élèves de première n’en sont plus tout à fait au stade de l’apprentissage, on peut, sans remords, conseiller aux collégiens une anthologie ou une édition abrégée pour pallier la difficulté que posent longueurs et digressions dans les romans d’Hugo. Cela dit, il n’est pas pour autant certain que des collégiens parviendront à s’emparer seuls de l’excellente version abrégée de l’école des loisirs[2] (à laquelle nous nous référerons dans la première partie de l’article). Il faudra aussi que le professeur les aide, dessine des parcours, ait recours à la lecture à voix haute.
En cinquième : destins d’enfants trouvés
Notre-Dame de Paris est un roman qui convient parfaitement aux enjeux des classes de cinquième. La dimension historique autorise une approche interdisciplinaire, et le roman illustre avec pertinence l’objet d’étude « Avec autrui : familles, amis, réseaux ». Les deux figures héroïques du roman, la Esmeralda et Quasimodo, sont des « sans famille », des enfants adoptés. L’un et l’autre seront d’ailleurs cause de la ruine de leurs familles d’adoption respectives. Il est, dès lors, tout à fait possible de montrer comment se dessine ce double parcours dans le roman. La Esmeralda est immédiatement liée à la cour des Miracles dont elle constitue, par son innocence et sa pureté, un paradoxe et un motif de fierté. Le professeur peut lire à voix haute les premiers chapitres du livre II (pages 35 à 50) qui permettent de familiariser le lecteur avec la vision fantasmagorique que Victor Hugo donne à ce lieu. Il invite les élèves à lire le livre IV qui rapporte l’adoption de Quasimodo, et le troisième chapitre du livre VI qui raconte en quelles circonstances la petite Esmeralda (appelée alors Agnès) est enlevée à sa mère.
Il s’agit ensuite de montrer comment le romancier a tissé les fils croisés de deux destinées fatales, l’emprisonnement de la Esmeralda dans les tours de Notre-Dame suscite le soulèvement de la cour des Miracles et son anéantissement par les troupes du roi. L’amour désespéré de Quasimodo pour la belle bohémienne le conduira à balancer son père adoptif par-dessus les balustrades du haut des tours de la cathédrale.
En quatrième : une ville fantasmagorique
Le roman convient aussi parfaitement aux classes de quatrième. Il permet alors d’aborder l’objet d’étude « La ville, lieu de tous les possibles ». Le livre III (pages 69 à 85) est à privilégier, la longue description de Paris à laquelle se livre Hugo est aussi une belle méditation poétique qui donne de la capitale une vision diachronique et permet de comprendre que, pour paraphraser Jacques Roubaud, la « forme d’une ville change plus vite hélas que le cœur des humains ».
C’est aussi l’occasion de montrer à quel point la ville est bien ce lieu de « tous les possibles » : « Un immense bric-à-brac fantasmagorique, pour reprendre les mots de Georges Piroué[3], s’y donne rendez-vous. Une ville onirique, hérissée, tortueuse, grimaçant de toutes ses gargouilles ; une population d’estropiés, de cabotins, infirmes et bourreaux mêlés, qui y grouille dans une atmosphère cruelle de kermesse ; des passions contrariées, furieuses, aberrantes, attisées par la pureté ici et là distribuée non comme l’eau qui apaise, mais comme l’huile sur le feu. Et naissant de ce désordre, une impression de dispersion, de distorsion des choses, des saillies, des protubérances qui dissimulent le vide ; rien à quoi se raccrocher, l’ivresse d’un vertige, point de centre, sinon la cathédrale-idole qui ne parle que par énigmes. »
Il peut être intéressant, pour aborder cette dimension quasi hallucinatoire de l’œuvre, d’avoir recours aux nombreux illustrateurs qui ont cherché à la mettre en scène, Gustave Doré et Charles Voillemot s’avérant particulièrement pertinents à cet effet.
Le programme de quatrième, qui invite à apprécier le rôle de la presse dans nos sociétés avec l’objet d’étude intitulé « Informer, s’informer, déformer », permet aussi d’aborder Notre-Dame de Paris dans une perspective argumentative. On pourra faire étudier aux élèves des extraits de l’article de Victor Hugo « Contre les démolisseurs du patrimoine[4] » et les comparer avec l’avant-propos du roman, ainsi qu’avec le premier chapitre du livre III qui témoigne des effets dévastateurs du temps et de l’action des hommes sur le monument.
On peut mettre en perspective le combat de Victor Hugo pour la sauvegarde du patrimoine avec les polémiques récentes qu’a soulevées la rénovation de la cathédrale après l’incendie de 2019. L’excellent dossier du Centre des monuments nationaux[5] fournit, à ce sujet, une mine de renseignement et d’exercices fructueux.
En sixième et troisième : monstre et engagement
Le roman de Hugo peut s’inscrire aussi dans les programmes de sixième et de troisième : Quasimodo est une incarnation idéale de la figure du monstre, et il est possible, avec les plus jeunes élèves, de partir des nombreuses illustrations qui ont accompagné les multiples éditions du roman pour interroger l’ambiguïté de la figure du monstre dans le récit de Hugo. En troisième, on pourra choisir d’illustrer l’objet d’étude « Agir dans la cité » en mettant en parallèle les deux scènes qui se répondent, sur le même motif : un sauveteur choisi de braver la vindicte populaire pour sauver ou soulager une victime de la justice. Dans la première (« Une larme pour une goutte d’eau », page 138), Quasimodo, supplicié en place de grève et assoiffé, reçoit un peu d’eau des mains d’Esmeralda ; dans la seconde, c’est le sonneur de Notre-Dame qui sauve la jeune femme de la pendaison, se saisissant d’elle pour demander « asile » dans les locaux sacrés de la cathédrale.
En première : les figures de la marginalité
Au lycée, on pourra recommander de lire ce roman dans sa version intégrale[6]. Il convient toutefois d’avertir les élèves que Victor Hugo ne leur donnera pas le plaisir de lire une histoire linéaire et haletante comme certains d’entre eux ont l’habitude d’en lire. On peut en revanche tirer de cette lecture ce surcroît de plaisir esthétique[7] qu’évoque Freud dans Le Créateur littéraire et la fantaisie… Il m’arrive souvent de dire à ceux de mes élèves qui s’avèrent a priori rétifs à la lecture des classiques que ces derniers nous demandent un effort, qu’ils exigent de nous que nous nous hissions à leur hauteur.
En première, Notre-Dame de Paris fournira un excellent sujet de lecture cursive pour accompagner et élargir la réflexion suscitée par Manon Lescaut dans le cadre de l’objet d’étude « Marginalité, plaisir du romanesque ». « Dans Notre-Dame de Paris, écrit Myriam Roman, Hugo […] déplace l’accent sur les figures de la marginalité (la Bohémienne mais aussi le monstre bossu, borgne, boiteux, les truands de la cour des Miracles ou en voie de disparition (le prêtre), tandis que la “normalité” héroïque devient burlesque (le chevalier et le soldat)[8]. » Le roman autorise une véritable réflexion sur la marginalité, ses origines, les préjugés qui la déterminent, les comportements d’ostracisme qu’elle autorise.
L’ouverture du roman, qui met en scène l’échec du « mystère » (pièce de théâtre) de Pierre Gringoire au profit d’une élection du « pape des fous » dont Quasimodo sera le vainqueur, met en scène la dimension carnavalesque du roman, au sens où l’entend Bakhtine[9] : « Les lois, les interdictions, les restrictions qui déterminaient la structure, le bon déroulement de la vie normale (non carnavalesque) sont suspendues pour le temps du carnaval ; on commence par renverser l’ordre hiérarchique et toutes les formes de peur qu’il entraîne : vénération, piété, étiquette, c’est-à-dire tout ce qui est dicté par l’inégalité sociale ou autre (celle de l’âge par exemple). On abolit toutes les distances entre les hommes, pour les remplacer par une attitude carnavalesque spéciale : un contact libre et familier. » Et c’est exactement ce qui se passe dans les premiers chapitres du roman. Les officiels s’éclipsent, Quasimodo, roi d’une journée de folie, reviendra bien vite aux insultes qui constituent son lot quotidien. Mais Hugo introduit avec jubilation son lecteur dans un monde où les lois de la vie quotidienne s’inversent. Il en va de même avec la première apparition d’Esmeralda en tant qu’actrice du récit. Elle vient sauver Pierre Gringoire de la pendaison en pleine cour des Miracles. Se déroule alors une cérémonie tout aussi carnavalesque où Clopin Trouillefou marie le poète à la bohémienne pour une durée de quatre ans, ainsi en a décidé le hasard engendré par les morceaux d’une cruche cassée.
Notre-Dame de Paris est un roman qui s’amuse de la prétendue normalité, dénonce les travers d’une justice inique, remet en cause les figures héroïques du roman historique à la Walter Scott en déplaçant l’héroïsme sur des figures de marginaux qui finissent broyés par la société. Car, au final, le carnaval n’est qu’une soupape pour le peuple, qui permet à l’oppression des puissants de se proroger. Et la figure de Louis XI apparaît bien dans le roman comme celle d’un souverain bourgeois et superstitieux qui tient avant tout à préserver ses privilèges et ceux d’une bourgeoisie montante.
En terminale : sensibilité romantique et ruptures
Le roman convient aussi au programme d’humanités de terminale. Il permet de manifester certaines caractéristiques de la sensibilité romantique, faisant écho aux grands textes théoriques qui témoignent de cette nouvelle sensibilité dans la France des premières années du XIXe siècle. On songe ici au Génie du christianisme, de Chateaubriand, et à la Préface de Cromwell de Victor Hugo. Avec Notre-Dame de Paris, Hugo a recours aux sources d’inspiration médiévale qui, selon lui, devaient se substituer à l’inspiration gréco-latine des classiques. En faisant de la cathédrale Notre-Dame la véritable héroïne du roman, Hugo donne crédit aux propos de Chateaubriand[10] : « On ne pouvait entrer dans une église gothique sans éprouver une sorte de frissonnement et un sentiment vague de la Divinité. […] L’ancienne France semblait revivre : on croyait voir ces costumes singuliers, ce peuple si différent de ce qu’il est aujourd’hui ; on se rappelait et les révolutions de ce peuple, et ses travaux et ses arts. »
Il cherche à ressusciter le Paris du XVe siècle, et fait de la cathédrale un personnage central, mère de Quasimodo, qui en vient à lui ressembler et qui finit même par s’apparenter à son âme : « La présence de cet être extraordinaire faisait circuler dans toute la cathédrale je ne sais quel souffle de vie. Il semblait qu’il s’échappât de lui, du moins au dire des superstitions grossissantes de la foule, une émanation mystérieuse qui animait toutes les pierres de Notre-Dame et faisait palpiter les profondes entrailles de la vieille église[11]. »
L’analyse du passage peut aussi autoriser l’enseignant à introduire la notion de lyrisme telle que l’entend Jean-Michel Maulpoix[12] et qui ne se réduit pas à la simple expression d’un « je » mais se traduit par un élan, une recherche de la fusion du Moi et du monde. En ce sens, Notre-Dame est bien l’extension de Quasimodo, elle poursuit l’élan protecteur du monstre à l’égard d’Esmeralda, elle échoue, comme lui, à la maintenir en vie. Elle finira même dans la réalité par s’inspirer de la popularité du roman d’Hugo : la stryge qui contemple Paris et qui orne la couverture de l’édition de l’école des loisirs a été imaginée par Viollet-le-Duc et réalisée par Victor Pyanet, et s’inspire de la figure de Quasimodo.
L’ouvrage peut aussi paradoxalement s’inscrire dans l’objet d’étude « Création, continuité et rupture », dans la mesure où le roman peut se lire comme une réécriture du Moine, de Matthew Gregory Lewis. Le roman gothique fut l’une des grandes sources d’inspiration du romantisme qui en renouvelle les thèmes en les intériorisant[13].
Le deuxième chapitre du livre V, « Ceci tuera cela », propose en outre une puissante réflexion sur le caractère éphémère des civilisations et la relativité de leurs modes d’expression. En imaginant que l’imprimerie naissante va tuer l’architecture, Hugo signale qu’il conçoit aussi son roman comme le chant du cygne de la cathédrale. Au langage symbolique des bâtisseurs de cathédrale va succéder celui de la raison qui met fin à l’empire de la foi.
Claude Frollo, l’archidiacre de Notre-Dame, est en quelque sorte l’incarnation de cette transition, comme le signale Marieke Stein : « Ce qui en fait une œuvre, anticléricale d’une remarquable audace, c’est le cœur même du drame : la tragédie intime de Claude Frollo. Enfant pensif et studieux, Frollo s’est consacré à la prêtrise par goût de l’étude plutôt que par amour de Dieu. Prêtre sans foi. Il subit toutefois la règle de l’Église qui impose à l’homme de nier l’homme en lui, de refuser les sollicitations des sens, de se fermer, tout simplement. à la vie[14]. » La préfacière montre ainsi pourquoi le roman fut mis à l’index par le Vatican en 1834. La rivalité entre Frollo et Quasimodo est quasi œdipienne. À plusieurs reprises, Hugo compare la Esmeralda à la Vierge Marie, et l’on pourra faire remarquer qu’en déplaçant le point de vue, le titre du roman devient polysémique. En effet, pour Frollo et Quasimodo, « notre dame », c’est véritablement la Esmeralda, la vierge martyre au centre d’un désir commun aux deux personnages et qui finit par mourir de la convoitise du premier, lequel a alors tout à fait conscience de se damner.
La lecture de Notre-Dame de Paris, quel que soit le niveau auquel on l’aborde, constitue toujours une aventure. C’est entrer dans une écriture, une vision, l’expérience à quelque chose de similaire avec la lecture du Moby Dick, d’Herman Melville, ou des Élixirs du Diable, d’Ernst Theodor Amadeus Hoffmann. Le propos se dilue, la digression devient la règle et pourtant, la somme de l’œuvre apparaît comme un tout, manifestation d’un esprit hors du commun : « La geste hugolienne, écrit Georges Piroué[15] nous concerne, elle se poursuit, s’accomplit ou se contredit sous nos yeux et, en annexant note siècle, rejoint le légendaire domaine de l’expérience humaine, non plus résumée en une suite d’accidents mais en un mythe métaphysique et moral. » Lire Hugo et le faire lire à nos élèves amène à partager cette expérience métaphysique qui nous fait grandir ensemble.
Notes
- [1] Victor Hugo, Notre-Dame de Paris. Une anthologie, coll. « Folio classique », Gallimard, 2017, 320 pages.
- [2] Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, coll. « Classiques abrégés », l’école des loisirs, 2018, 344 pages.
- [3] George Piroué, Victor Hugo romancier ou les dessus de l’inconnu, Denoël, 1964, 256 pages.
- [4] « Victor Hugo en colère. Contre les démolisseurs. Pour le patrimoine. », Revue des deux mondes, 16 juin 2019.
- [5] Scènes du roman Notre-Dame de Paris, de Victor Hugo, https://www.monuments-nationaux.fr/var/cmn_inter/storage/original/application/c80f58550cb6de4b38f7dba2bcad80fb.pdf
- [6] Victor Hugo, Notre-Dame de Paris (appareil critique de Marieke Stein), GF, 2017.
- [7] Sigmund Freud, « Le créateur littéraire et la fantaisie » in L’inquiétante étrangeté, coll. « Folio essais », Gallimard, 1980.
- [8] Myriam Roman, Victor Hugo et le roman philosophique. Du « drame dans les faits » au « drame des idées. », Honoré Champion, 1999.
- [9] Michael Bakhtine, L’œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance, « Tel », Gallimard, 1982.
- [10] René de Chateaubriand, Génie du christianisme, T. 1, éd. de Pierre Reboul, GF, 2018.
- [11] Cf. note 6.
- [12] Jean-Michel Maulpoix, Du lyrisme, Corti, 2000.
- [13] Nous empruntons l’idée à Isabelle Durand Le Guern dans son article « Notre-Dame de Paris ou l’intériorisation du gothique », revue de Littérature comparée n° 334, 2010.
- [14] Marieke Stein, préface à Notre-Dame de Paris, GF, 2017.
- [15] Cf. note 3.
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