L’écoféministe québécoise s’inspire de son expérience de huit ans
dans une cabane. Entre éloge et blâme, journal de bord et récit d’aventures, elle sublime l’âpreté de l’épreuve, renoue avec la poésie des origines primitives et trouve un sens à sa vie.
Par Antony Soron, maître de conférences HDR, formateur agrégé de lettres,
Inspé Paris Sorbonne-Université
Le récit de Gabrielle Filteau-Chiba, qui aurait pu être renommé Une semaine à l’ère glaciaire, se déroule du 2 au 10 janvier. L’autrice a choisi un segment de temps limité sur lequel elle concentre la somme d’épreuves auxquelles elle a été personnellement confrontée en rejoignant sa cabane forestière. […]
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