Le double mérite d’être analysé non seulement comme un thème, mais comme une situation théâtrale, comme la mise en scène de cette relation trouble, qui unit ou oppose deux personnages. «Être deux» constitue une situation délicate, d’où peuvent sortir les pires horreurs : la violence, le désir, le sadisme de l’homme, inventent alors mille atrocités. Lethéâtre de Corneille suit-il cette orientation ?