Ce n’est pas un hasard si, dans une chronique publiée en 1886, Maupassant choisit de revêtir l’identité d’un peintre, et plus particulièrement d’un paysagiste : pour ce sensualiste qui aurait voulu peindre la vie comme Degas et qui aime la nature d’un amour primitif, peindre, c’est « manger le monde avec son regard ».